A une question posée par un lecteur , je tenais à préciser que la moité des photos sur les cirques sont été prises en roulant avec mon IXUS 120 IS, tout en conduisant d'une main , pas évident !

Les autres photos sont prises avec un Canon 350 EOS, appareil que j'apprécie , malgré ses nombreuses pannes (dernier voyage au Cambodge lol!).

Ce que j'essaye de faire ressortir par ces photos d'amateur, c'est la beauté naturelle de l'île de la Réunion et j'espère sincérement que vous appréciez !

Bonne ballade !!

Le piton de la Fournaise culmine à 2 632 mètres d'altitude

Le piton de la Fournaise est constitué d'un large dôme situé au milieu d'une grande zone d'affaissement appelée l'Enclos

L'Enclos forme un grand « U », d'environ treize kilomètres de longueur sur neuf kilomètres de largeur, ouvert à l'est sur l'océan Indien.

À terre, il est entièrement ceinturé de falaises, appelées remparts, qui le surplombent d'une hauteur de 100 à 400 mètres. Le profil en long de l'Enclos est celui d'un toboggan.

La partie haute, dite « l'enclos Fouqué » (au sens strict), est une zone assez plate comprise entre 2 200 et 2 000 mètres d'altitude.

La partie médiane, qui présente une très forte déclivité jusque vers 450 mètres au-dessus du niveau de la mer, porte bien son nom de Grandes Pentes.

Quant à la partie basse, dénommée Grand Brûlé, elle s'étale plus doucement jusqu'au rivage.

Le cône du piton de la Fournaise, d'un diamètre d'environ 3 km, surmonte l'enclos Fouqué jusqu'à l'altitude actuelle de 2 632 mètres.

Le bord oriental du cône se situe à la limite des Grandes Pentes. La partie sommitale présente deux cratères :

• le cratère Bory, situé à l’ouest, est le plus petit avec 350 mètres de longueur et 200 mètres de largeur.
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• Déjà présent au début de la colonisation de l’île, il est nommé lors même de l'expédition menée en 1801 par Jean-Baptiste Bory de Saint-Vincent, naturaliste et géographe français qui fut le premier à décrire scientifiquement le piton de la Fournaise et à réaliser la première carte des coulées de ce volcan en 1802 ;

• le cratère Dolomieu, situé à l’est, est le plus grand cratère avec 1 000 mètres de longueur et 700 mètres de largeur. Il ne serait apparu qu'en 1791 suite à l’effondrement d’une chambre magmatique sommitale. Il est ainsi nommé par Bory en hommage à Déodat Gratet de Dolomieu (1750-1801), géologue et minéralogiste français spécialiste du basalte.

• Suite à la vidange de la chambre magmatique à la fin de l'éruption de début avril 2007, la quasi totalité du fond du cratère s'est effondré le 7 avril pour atteindre une profondeur de 300 mètres par rapport aux bords du cratère

Deux singularités notables se distinguent dans la partie nord de l'Enclos :

• une zone de suraffaissement d'environ 2,5 km de diamètre, la Plaine des Osmondes ;
• un pointement rocheux isolé s'élevant à 1 368 m, le piton de Crac, vestige d'un relief antérieur à la formation de l'Enclos.

La partie active du piton de la Fournaise s'étend cependant au-delà des limites de l'Enclos. En effet la zone préférentielle d'écartement (ou rift-zone) où se produisent les fractures éruptives, forme un croissant plus évasé que le « U » de l'Enclos.

Cette bande de fragilité qui passe par le sommet rejoint l'océan dans les régions de Saint-Philippe au sud et de Sainte-Rose au nord, où peuvent se produire occasionnellement des éruptions dites « hors-Enclos ».

Skaters pays prennant leurs pieds ..=) !

De la glace ! Brrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr !

Cilaos se situe au centre de l'île, dans le cirque naturel du même nom, dans la partie sud du massif du Piton des Neiges. L'ensemble de son territoire communal se trouve dans les Hauts.

Les communes limitrophes sont Les Avirons, L'Entre-Deux, Saint-Benoît, Saint-Leu, Saint-Louis, Saint-Paul, Salazie et Trois-Bassins.

On accède au cirque par la route depuis Saint-Louis. À pied, les modes d'accès sont plus nombreux. On citera le col du Taïbit, au nord-ouest, d'où proviennent les marcheurs de retour de Mafate. Au nord-est, un autre sentier mène au Piton des Neiges en passant par la forêt du Grand Matarum.

Le blason de Cilaos représente, sur fond blanc, la forêt de cryptomerias : omniprésente, toujours renouvelée, jamais la même. L'écusson central symbolise les sources, ces eaux bénéfiques popularisées par Mac-Auliffe : torrents, bras et cascades qui font du cirque une parure de dentelle azurée.

Le mot Cilaos viendrait du mot malgache Tsilaosa, qui signifie « lieu où l'on est en sécurité »^[]. En référence à cette origine supposée, la devise de la commune est « Cilaos, on y revient toujours ».

Néanmoins, selon certains historiens, le mot Cilaos trouverait plutôt ses origines dans le nom d'un esclave malgache nommé "Tsilaos", qui se serait réfugié dans ce cirque. C'est d'ailleurs par ces esclaves « marrons » (ou « noirs marrons ») en fuite que Cilaos fut d'abord peuplé. Évadés de chez leurs maîtres, les marrons profitèrent de la difficulté d'accès du site pour y vivre en toute liberté et en pleine nature.

Certains de ces esclaves s'étaient installés à l'Ilet à Cordes, qui devrait son nom au fait que les esclaves marrons qui s'y cachaient ne pouvaient accéder à ce plateau que par des cordes jetées depuis le haut des remparts. Se croyant en sécurité, ils furent très vite pris en chasse par des "chasseurs de marrons" armés et organisés.

 Dans leur fuite, beaucoup de marrons furent tués. Parmi ces chasseurs figurait Mussard (l'un des plus connus à La Réunion), qui fit en octobre 1851 une incursion à Ilet à Cordes, où il découvrit deux camps d'esclaves en fuite. Des traces du marronage subsistent notamment dans la forêt de Tapcal, où des expéditions récentes ont mis au jour des ossements.

Après l'histoire tragique de ces premiers habitants marrons, qui furent certainement aussi les premiers à tracer ces "sentiers de chèvres" qui escaladent la plupart des montagnes abruptes du cirque, Cilaos resta un moment inhabité. C'est à 1850 que remonte officiellement son premier peuplement. Mais dès 1835 arrivèrent les "petits blancs" pauvres et sans terres. Ces colons développèrent une agriculture vivrière d'autosubsistance (lentilles, maïs, vin, petits pois, haricots, agrumes, élevage, ...). Les premières familles s'installent alors au Bras de Saint-Paul et d'autres sur Ilet à Cordes. Certaines installations remontent à la quatrième génération mais il semble que les premiers propriétaires, arrivés au début du XX^e siècle, étaient les Gonthier et les Picard.

En 1866, la population atteint 960 habitants. Au début du XX^e siècle, Cilaos comptait 2 500 habitants. Elle atteignait au recensement de 1982 le nombre de 5 629 habitants.

Ses principales activités sont le tourisme, la viticulture et la culture de la lentille. Sa broderie, plus connue sous le nom de jours de Cilaos, est par ailleurs réputée, le musée situé au centre-ville en direction de la "mare à joncs" est à visiter.

Les eaux sont réputées bienfaisantes, des thermes ont été aménagés à cet endroit à la plus grande joie des créoles. Une eau minérale gazeuse existe également depuis novembre 1999 et constitue la première de l'île^[3].

Les lentilles de Cilaos sont cultivées principalement à Îlet à Cordes et ont été introduites dans les années 1850. Le cirque en produit déjà 25 tonnes en 1881. En 2004, la production est de 50 tonnes. C’est le climat et la formation géologique du Cirque qui donnent un goût particulier aux lentilles de Cilaos, dont sont très friands les gastronomes. La commune les fête chaque année en octobre.

Le vin de Cilaos (rouge, rosé et blanc) est apparu dès le début de la colonisation. En 1975, un décret de loi interdit la production de vin à partir du cépage Isabelle qui était le seul cultivé. L’État confie alors au CIRAD la sélection de cépages nobles pour donner aux viticulteurs une alternative à Isabelle. Trois cépages ont été sélectionnés : le Malbec, le Chenin et le Pinot noir. Ce n'est qu'en 1998 que 8 hectares de cépages sont mis en place et permettent de réaliser des vinifications de bonne qualité. Aujourd’hui, une vingtaine d’hectares sont cultivés et font la fierté de ses villageois.

Wikipédia

Voilà, mon prochain départ pour le Cambodge approche à grands pas , encore 7 jours, une semaine où j'aurai à supporter mes stagiaires adorés pour qui la motivation se met en position veille à 'approche des fêtes de Noël, il faut savoir qu'à la Réunion , les grandes vacances se situent lors du congé du BTP , c'est à dire en grande majorité du 17/12 au 17/01 et cela nous permet de recharger nos accus en attendant que la machine redémarre.

Ce nouveau voyage dans ce pays que j'ai découvert et aimé l'an passé, a cette année une saveur particulière, déjà mon pote Emmanuel a la gentillesse de partager avec moi cette phase de vie et de surcroît, Patrice, un camarade de la Réunion « lontan » et un de ses amis ont décidés de nous rejoindre à Siem Reap ! C'est sympa !

La Réunion débarque au Cambodge !!

J'ai beaucoup de respect pour cette île Française perdue comme un grain de sable au milieu de l'Océan Indien, déjà par sa beauté et sa diversité due en grande partie à l'activité puissante et grandiose de son volcan et où souvent le mot Tolérance devrait être un exemple pour beaucoup de nos concitoyens de Métropole qui se permettent sur certains forums de porter des jugements de valeurs en inéquation avec la réalité des choses.

Ayant pour habitude d’essayer lors de mes voyages, d’apporter une petite pierre à l’édifice de la fraternité humaine, j’avais en début d’année soumis par mon blog et en discutant avec quelques proches l’idée de ramasser un peu d’argent pour une association , honnête, Poumakodach, qui gère d’une manière directe les besoins essentielles de la vie. Cette année, l’objectif était de construire une annexe de la petite maternité (un ancien dispensaire) où la future mère pourra sans appréhension attendre la venue de son bébé !

Grâce à cette association et au à la générosité d’internautes, l’objectif a été atteint et l’inauguration est prévue le 30/12.

Photo de roger Barhas

Bravo ! J’avais prévu aussi de faire une journée festive pour les gamins de l’école Vat Koh Dach, école que j’avais visitée l’an passé, en me promettant d’essayer d’y revenir avec un peu de soleil.

Ces gamins qui lors de votre visite vous saluent avec des sourires spontanés à se décrocher la mâchoire, ponctués de hello, hello, méritaient à mon sens un peu de poésie et de rêve. Ayant contacté un cirque local célèbre par ses actions et son bien fondé, ayant contacté un directeur expat de Phnom Penh qui gère une école d’art, de musique etc. Ce fut un « Niet » rapide et direct ! Bon !

Entêté et ancien cancre, je ne voulais pas comme l’an passé acheter des cahiers , ardoises, craies, stylos etc. d’autres bénévoles le faisant assez couramment et surement mieux , j’ai décidé d’acheter des ballons de foot, de volley-ball , des raquettes de badminton et des filets, pour que ces gamins jouent et s’amusent et surtout pour que ces enfants issus d’une génération qui a connu les pires atrocités de son histoire, tapent plutôt dans un ballon que sur la tête de son voisin .

La Réunion a répondu présente, pourtant, pratiquement personne ne connaissait le Cambodge ! Plus de 350 euros ont été donnés pour la construction de la maternité et il me reste plus de 600 euros pour organiser un grand gouter et pour l’achat des ballons ! Ce n’est pas beau cela, la solidarité créole !

Merci à Victor, Jean-Claude, Aimé, Rosaire, Karine et Roger, Kristine, Patrice, David, Wladimir, Emmanuel,  Brigith, Philippe et Franck. J’espère que je n’ai oublié personne. Un compte rendu détaillé vous sera remis lors de mon retour du Cambodge.

A suivre..

J'ai eu la chance et le bonheur de suivre une journée pédagogique sur le thème de "Photographie animalière" organisé par M Boyer alias Yabalex ( www.faune-reunion.com/yabalex.html ) (, issu des Beaux arts, passionné  et défendeur de la faune et flore de la Réunion et de surcroît trés pédagogue et trés symphatique.

Mes trés chers fréres, mes trés chères soeurs ........!

 Un conseil si vous aimez la nature et la photo, n'hésitez pas ! Allez-y !!

Bon, à vrai dire , au niveau de la photo animalière, mon travail fut inexistant, malgré un chat volontaire, un poisson affamé et une abeille butineuse, mais j'ai trés agréablement été surpris par la richesse de ce jardin botanique et j'ai particulièrement été séduit par l'espace Cactus!

Bravo en tout cas à toute l'équipe oeuvrant pour ce jardin ! c'est propre, bien entretenu, et on voit reçoit comme la Réunion Longtemps , avec le Sourire!!

 L'association "Conservatoire et Jardin Botanique de Mascarin". a été crée en 1986

C'est le fruit de la mobilisation conjointe de scientifiques et d'élus, tous passionnés du patrimoine de l'île. En effet, quelques personnes avaient déjà conscience des enjeux patrimoniaux, scientifiques, culturels et économiques que représentait la préservation des forêts réunionnaises, uniques au monde.

Des enjeux patrimoniaux, scientifiques et sociaux UNIQUE n'est pas un qualificatif exagéré.

 Il suffit de revenir ... "un peu" en arrière!

Notre île a émergé de l'Océan Indien il y a 3 millions d'années seulement. L'insularité, la démesure de son relief et la diversité des microclimats ont favorisé le développement d'espèces végétales endémiques et indigènes, constituant ainsi une flore d'une extrême richesse et originalité.

 Aujourd'hui, la pression humaine (défrichements, déboisements, prélèvements abusifs, concurrence par des espèces végétales colonisatrices et envahissantes) et les risques naturels (volcan, cyclones) menacent la survie de ces espèces rares.

 Un outil de conservation et de développement, au service d'une mission Dès ses fondements, le Conservatoire Botanique s'est vu confié une mission originale allant de la connaissance scientifique à la vulgarisation d'un savoir actualisé, tant vers la population locale que vers les touristes.

 Les actions engagées répondent donc à cette triple orientation :

 ■la connaissance de la flore spontanée de l'île,

 ■la sauvegarde des espèces indigènes et endémiques de la Réunion et la préservation de leurs habitats,

 ■la sensibilisation et l'éducation du public. Le Conseil Général soutient le Conservatoire Botanique dès sa création et lui confie les 12 ha de l'ancien domaine agricole de la famille DE CHATEAUVIEUX, sur la côte ouest de l'île de la Réunion, à 500m d'altitude.

Aujourd'hui Mascarin est principalement financé par le Conseil Général, le Conseil Régional, le Ministère de l'Ecologie et du Développement Durable et par l'Europe. Démarche partenariale et reconnaissance officielle Le Conservatoire Botanique s'inscrit dans une stratégie régionale, nationale et internationale de préservation des milieux, en partenariat avec les collectivités, l''ONF, l'Université de la Réunion, des associations comme la SEOR, le Muséum d'Histoire Naturelle, la SREPEN, .....

 Un site, un outil de communication Le Conservatoire Botanique vous accueille dans les anciens bâtiments de la propriété et ses jardins. Villa, forge, écuries aujourd'hui restaurées vous permettent de plonger dans les souvenirs de la vie lontan, tout en vous offrant la possibilité de visiter nos expositions permanentes et temporaires.

 Vous pourrez ainsi mieux comprendre les enjeux de la conservation mais aussi percevoir comment la nature a souvent été source d'inspiration pour de nombreux artistes.

 Quant aux collections végétales, réparties sur plus de 3 hectares, elles vous inviteront à découvrir :

 ■une partie de la végétation indigène de l'île (Collection Réunion),

 ■des espèces fruitières typiques des jardins créoles traditionnels (Collection Verger),

■quelques espèces cultivées ayant marqué, au cours de l'histoire, le paysage naturel et l'économie de l'île (Collection Plantes Lontan)

■la diversité et la capacité d'adaption de certaines plantes, capable de vivre dans des conditions parfois extrêmes de sécheresse (Collection Succulentes)

 ■le lien étroit et ancien entre l'homme et les plantes, au travers des palmiers (Collection Palmiers).

L'association "Conservatoire et Jardin Botanique de Mascarin".

www.cbnm.org/

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Fazen est une espèce de volatile en voie de disparition, adorant déguster du malt et du houblon lors de ces nombreux voyages !

Bande de veinards !! suite à de nombreuses demandes , Fazen se met à nu ( euhhhhh, en réalité, suite à une demande!!)

Le Fazen ou le Raphus cucullatus est une espèce de grand oiseau .

Apparenté aux pigeons et appartenant à la famille des Raphidés, le Fazen vit dans les forêts ou les plaines. Il mesure environ un mètre pour une masse d'une vingtaine de kilogrammes.

Fazen'jungle !!

Découvert en 1598, il était décrit comme lent, ne fuyant pas l'homme, gros et presque cubique.

Fazen's friends !!!

Son plumage bleu-de-gris était pourvu d'ailes atrophiées jaunes et blanches, ainsi que d'un panache de quatre ou cinq plumes de mêmes couleurs en guise de queue.

Fazen and Buudha !

Ses pattes jaunes comportaient quatre doigts (trois à l'avant, un à l'arrière) ornés de grands ongles noirs.

Fazen Power's flowers !!

 Son bec crochu avait une tache rouge caractéristique à son extrémité. Sa tête noire ou grise possédait deux plis importants à la base du bec.

A star is born !!!